Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

  

_ On déguerpit d’ici, Monsieur et vous venez avec nous. Vous n’avez pas oublié notre accord, votre avion ? Répliqua Becky.

   Jacques se souvenait qu’un vieux disait : « Si le flot t’emporte là où tu veux aller, alors ne discutes pas ».

_ Non, non, juste pour savoir.

    Becky s’engouffra dans le bocal où le professeur Robin était en train de vérifier les moniteurs et d’armer le processus du plan B et s’enquit-elle.

_ Alors Robin, vous êtes prêt ?

_ J’attends ton feu vert, Becky.

_ Que lisez-vous sur la visière du masque ? demanda Sony à Jacques.

_ Ready !

_ Ok parfait, si vous voulez parler, vous appuyez sur ce bouton, d’accord Monsieur !

_ D’accord, merci.

_ Eh les gars ! Vous êtes prêt ? Ne répondez pas tous en même temps.  Allez y, Robin, vous pouvez déclencher le processus et envoyez un message au capitaine Barnay qu’il peut récupérer son ami Jacques au grand portail du Zoo Parc.

_ Ok Becky, Eh les gars ! Compte à rebours dix secondes. C’est parti !

_ Toshi ! Déclenche tes coccinelles, ordonna Becky.

_ Ok Becky ! Toshi appuya sur le bouton  rouge du petit boîtier, en une fraction de seconde tous les otages ne bougeaient plus. Ils en avaient pour au moins un quart d’heure à être dans les bras du Morphée.

 

     

 

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