Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

  

_ Les fourgons, peut-être, mais l’avion, c’est hors de  question.

_ Le temps presse, ça tourne Capitaine, Tic Tac, Tic tac.

    Jacques essayait de se frayer un chemin pour approcher en catimini le guichet ouvert, numéro trois. Il tenta de regarder, scruter le moindre mouvement des clones. Il se disait « aucun mouvement de déménagement du contenu des coffres, aucun sac de billets entassés, seul l’homme et la femme discutaient sereinement dans le bocal du chef des guichets. Ça répond à mes théories.

1     1-   Ils ne sont pas là pour la Banque, c’est pour autres choses.

2     2-   Ils sont tous armés de Glock et d’armes de combat, comme dans les Unités d’Elites.

3     3-   C’est un braquage déguisé. 

Effectivement, à cet instant, Jacques se senti envahi par un sentiment inhabituel de plénitude et d’assurance. A la moindre l’occasion, je vais tenter quelque chose. Oui, mais quoi ?… Songea-t-il.

    Les compilations et les catalogages des tables de la base des actionnaires sont terminés, le responsable informatique s’adressa à Hewlett :

_ Elle est prête et en ligne, Monsieur.

_ Bien ! Alors tu viens t’asseoir sur ta chaise. Je ne te ligote pas, mais ne joues pas au héro, d’accord ? Où est ton badge ?

_ Je ne sais pas, c’était l’un de vous qui l’a pris.

_ Bon peu importe, comment tu t’appelles ?

_ Christopher !

 

     

 

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