Le papillon des Mille-Etangs  

                                          

                                    

 

 

  

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La même nuit, quelque part en ville à Terra-polis, les conversations s’accentuent :

_ Bobby, tu n’es qu’une poule mouillée, malgré que Cricri ne puisse pas t’accompagner, que tu vas jouer à la branlette.

_ Tais-toi ! Tais-toi !!! Tu sais pertinemment que tes conseils où je vais les mettre.

_ J’ai remarqué que, depuis quelque temps, monsieur joue le grand air. Tu savais fort bien, que tous ce que tu possèdes jusqu’à présente, c’est grâce à moi. Sans moi, tu pleurais encore sous la jupe de ta vieille. En d’autre terme, tu n’es rien !!!

_ Tais-toi ! Tais-toi !!! D’accord, on va faire un tour.

_ Voilà ! Je retrouve mon Bobby préféré.

 Dissimulé sous une barbe mal entretenue et métamorphosé dans un personnage aussi méconnaissable que lui-même aurait été parfois surpris devant le reflet du miroir de la salle de bains, Bobby vérifie son maquillage, ajuste sa barbe, remet sa veste et y sorte en sifflant un air de balade «  Oh, my darling clementine… ».

Le pick-up de couleur crème roulait vers le centre ville du Bisness Center. Une nuit douce, étoilée, requinqué de soul music, Bobby longe la 1ère BC Avenue, où les enseignes fluoresces des boutiques de luxe et des grands magasins illuminaient de mille lumière. On avait l’impression de se balader aux champs Elysée de Paris.

 

 

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