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Meg ! Lieutenant, appelez-moi Meg. Ça peut aller, merci à vous. Je
suis très touchée par votre compassion. Elle marqua une pause, un coup
d’œil dans le rétro instinctivement puis… _
D’ailleurs, j’ai remarqué que vous êtes très proche, si je peux
dire, Jessy et vous ? _
Rien ne peut vous échapper, Meg, Vous êtes non seulement belle,
ravissante et fort sociable, mais également dotée d’une intelligence
aux dessus de la moyenne. Vos sens d’observations surpassent la plupart
des détectives que j’ai l’habitude de côtoyer. Il tournait
légèrement la tête et la regarda. Vous ne voulez pas faire partie de la
brigade ? Lui affichant un sourire sincère. _
Merci beaucoup de votre offre, je vous promets d’y réfléchir,
Lieutenant. _
Pour revenir à votre remarque… Suite au décès accidentel d’Emilie
Valentin, sa maman, concluait l’enquête, Jessy se trouvait
complètement désemparée. A l’époque, il était âgé environ d’une
dizaine d’année. Son père, Monsieur Jacques Valentin, lui-même
n’était plus en état d’accomplir ses missions dans la brigade des
Stups. Pendant des mois, il se refugiait en silence dans le chalet
familial niché sur la terrasse du BIFI Tower au Business Center, où il
pleura de toute son âme la perte de son épouse bien aimée ; que
dans un tel chagrin qu’on ne put imaginer. Ce fut à cette époque, et
suite à la demande de mon père, coéquipier et ami de Jacques Valentin,
que j’eusse fait connaissance du petit Jessy. Au fil du temps, notre
amitié grandissait, nous fîmes devenu des frères. _
Je vois, et pourquoi Jacques
valentin avait quitté la brigade des Stups ?
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