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A vos ordres Capitaine. Commissaire ! Le capitaine Barnay. _
Merci Lieutenant. Oui Capitaine ? _
Commissaire ! Je vous remercie de votre coopération, vous et vos
hommes. Je vous rendre votre ville. J’ai encore un autre char à
fouetter. _
C’est à moi de vous remercier de votre super intervention et toutes mes
félicitations Capitaine. _
Vous savez où me trouver en cas où ….. _
D’accord, mais j’y pense pas Capitaine. Capitaine
Barnay arriva au Zoo Parc, descendit de sa 4 X 4 militaire et aboya : _
Jacques ! Jacques, vous êtes
là ?
Assis dans le fourgon, la porte arrière entrouverte, Jacques était
encore dans les vapes. Une sensation forte désagréable, il avait envie
de gerber. _
Oui Capitaine, je suis là. _
Ça va, Mon ami ? Dieu soit loué, vous vous sentez bien ? _
Ça va. Juste j’ai en vie de gerber. Sinon ça baigne. _
Vous avez très bien réagi Jacques, un excellent négociateur. _
Parce que j’ai un bon professeur Capitaine. _
Ne soyez pas trop modeste, mon ami. Maintenant comme on dit :
« L’élève dépasse le maître ». D’après mon
lieutenant, tous les otages sont sains et saufs. Ils n’ont même pas
touché aux coffres. _
Il y a quand même un mort et un blessé. _
Non Jacques, le banquier est toujours vivant et en bonne santé, même
votre protégé, le garçon de sécurité s’en est sorti à la dernière
nouvelle. Il marqua une pause. Bon ! Maintenant dites-moi je vous ramène
à votre bureau ou à la résidence ? |
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