Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

  

D’ailleurs, c’était comme avait prévu Becky, l’explication de la conséquence inévitable pendant la mise au point de son plan d’action. 

   Environ cinq cent mètres du rond point en direction du Zoo Parc, Robin se trouvait dans l’impossibilité d’avancer son fourgon, ordonna-t-il.

_ Tu peux descendre voir, Toshi, si je peux monter sur le trottoir de droit, s’il te plaît, nous sommes coincés par ces véhicules de travers, et ces « Pas nous, Pas nous » couchaient un peu par-ci, par-là.

_ Ok Robin, je m’en occupe, (en un bref instant, après avoir dégagé quelques Pas nous, Pas nous). Bon ! Tu montes sur le trottoir, cria-t-il, je te guide, avances !

_ Parfait Toshi, tu es le chef, ok, maintenant tu remontes !...  Je vois qu’il y a quelques choses bouger là bas. Déclenche ta coccinelle de réserve et balance-la, maintenant !

   Toshi exécuta l’ordre donné par Robin, aussitôt, plus aucun mouvement à l’horizon.

_ Bien Becky, on va arriver au Zoo Parc dans une minute.

_ Merci Professeur.

   Depuis le départ de la banque, Becky était perdue dans un esprit de tohu-bohu, grande confusion. Elle cherchait les mots, une phrase, comment lui dire dans de telles circonstances si méprisables. Et puis elle se jetait à l’eau, comme disait l’expression.

_ Monsieur Valentin, plutôt Monsieur KOP, c’est moi REBECCA, le chef de notre bande des clones et aussi la petite fille errait au bord de la route D911 au milieu d’une nuit d’automne, sombre et effroyablement gelée, à la recherche désespérément  d’aide.

 

     

 

- 206 -

 

                                                                            Accueil              Sommaire