Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

  

_ Une vingtaines.

_ Ok ! Ça va prendre encore quelques minutes, restons en ligne.

_ Ok ! Je démarre le scanne.

    Becky regardait les écrans de contrôle. Les deux fourgons blindés étaient garés devant la banque depuis quelques minutes. Cependant les délais exigés au capitaine Barnay furent largement dépassés.

_ Capitaine ! clama Becky au téléphone, vous essayez de gagner du temps.

_ Ah c’est vous la patronne, je présume. Il me faut encore du temps pour l’avion. Monsieur le ministre n’a pas encore donné l’ordre.

_ Dites au Ministre, que le temps j’en ai pas et tout de suite il a deux otages sur sa conscience. Dans cinq minutes il y aura un autre. Jusqu’aux derniers, si l’avion n’est toujours pas prêt.

_ Attendez ! Attendez ! Merde elle a coupé, la pourriture. J’espère que Jacques faisait pas partie de ces deux otages. Chié ! Comment savoir ? 

    Becky aboya dans son micro-casque.

_ Toshi, emmène-moi les deux perturbateurs de tout à l’heure.

_ Ok Becky. S’il vous plaît ! Vous ! Et vous !, sortez et venez, Toshi désigna les deux perturbateurs.

   Jacques intervint, il faut que je trouve une solution.

_ Arrêtez s’il vous plaît, je voudrais voir votre chef.

_ Pourquoi faire ?

  

     

 

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