_ Oui, c’est comme des clones. -----  Vêtu de blouse blanche avec un badge de médecin. En outre, son épouse, Mme Fernando a remarqué que le plus âgé d’entre eux, s’appelait professeur Robin et le plus jeune, très nerveux, avait l’air aussi cinglé qu’un rat shooté au crack, c’était Mike. Puis elle poursuivait, --- Il y eu une détonation de coup de feu dans la salle de réunion. Elle pensait qu’ils avaient  liquidé le directeur général de la banque.

 C’est pour cela que son mari, Monsieur Fernando a eu un choc, complètement groggy. Et elle a ajouté que c’était grâce à un Monsieur très courageux que les enfants, leurs parents et eux deux ont été libérés.

_ Ok, comment sont-ils armés ?

_ D’après un des parents, Ils sont armés jusqu’aux dents : Des Glock 17 et 20 et des Remington XP-100 et Dieu sait quoi d’autres ?

_ Comment il savait tout ça, ton monsieur ?

_  Monsieur Francis, il est salarié dans l’amerrie au 252 BC 2^ème Boulevard, c’est son job, capitaine.

_ Comment s’appelle la chef des clones ?

_ On ignore, personne ne sait, Capitaine.

_ Ok Reno, bon boulot ! Interdiction totale des journalistes à l’approche des otages dans la cellule médicale et psychologique et au chevet du garde blessé à l’hosto, l’enjeu est trop important, Reno.

_ A vos ordres, capitaine !

    En effet, d’un côté, le capitaine Barnay savait que cette première libération des otages n’était pas l’œuvre de son action, mais c’était l’intervention courageuse de Jacques, son coéquipier et ami de toujours. Cependant il restait dubitatif, cette fin de journée serait longue, très,  très longue….Mais d’un côté, il était content d’avoir Jacques à l’intérieur, se disait-il « Oh Jacques, vous êtes un bon dieu de sacré bonhomme. Comme toujours, vous m’impressionnez par votre faculté d’analyse des faits, avec une facilité déconcertante et d’une maîtrise de soi à couper le souffle ».