Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

 

   

Surprit  par ces conversations, Becky s’arrêta nette et se dît « Merde, c’est ce que j’en doutais ce matin dans le train, un air de déjà vue ».

 _  Madame s’il vous plaît, il lui faut une ambulance, il perdait trop de sang. On ne pourrait plus attendre, clama Jacques.

_ Je vais voir ce qu’on va faire. Becky fît demi-tour.

Professeur ! Branchez le téléphone.

_ Ok Becky !

 Dehors ça grouille de flics, comme des cancrelats dans un motel boui-boui du dix-huitième arrondissement. Et des valses incessantes d’hélicoptères qui se  faufilaient entre les Tours.

L’inspecteur Adam aboya :

_ Capitaine ! Capitaine ! ça y est, on a la connexion.

_ Passez-moi ! Le combiné. ------- Allô ! Allô ! C’est le capitaine Barnay, responsable de l’opération. Déclinez vos identités, s’il vous plaît.

_ Professeur Robin, votre pire cauchemar, Capitaine.

_ Ha ! Ha ! Professeur ! Vous détenez nos otages. Moi, je détiens votre passeport de sortie. Si on essaie de trouver un terrain d’entente, c’est la seule règle de base de notre négociation, non ?

_ D’abord, faites cesser la valse de ces hélicoptères et aucun de vos gars à proximité des trois caméras devant la banque, je vous donne cinq minutes, Capitaine.

_ Que m’offrez-vous en revanche ?

_ Faites avancer une ambulance devant la porte d’entrée, il y a un blessé pour vous (Robin regardait Becky d’un air désolé, qu’il a pris d’initiative).

     

 

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