Une journée ordinaire de Monsieur Kop          

                                                    

                                    

         

   

_ Oui, Annie.

_ Je vous passe, Monsieur votre père, Monsieur.

_ Allô ! Bonjour papa, comment ça va ?

_ Ça va fiston et toi ? ---- faut que tu passes un de ces quatre à la maison, qu’en penses-tu ?

_ J’y pense papa.

_ Alors que puis-je faire pour toi ?

_ As-tu regardé les infos ?

_ Bien sûr que oui. Et je sais que tu es à la hauteur de l’événement.

_ A la hauteur, je ne sais pas, mais nous sommes en train d’étudier toutes les possibilités, si nous arrivons à limiter la casse, je veux dire les pertes évidentes.

_ Dis moi, est-ce que trois cent cinquante millions suffisent ?

_ Nous les ferons avec. Et merci beaucoup papa.

_ C’est mlle Angéla, qui s’occupe du transfert ?

_ Oui, c’est elle.

_ Passe la moi, s’il te plaît.

_ Allô ! Bonjour Monsieur, je suis contente de vous voir ----- euh ! --- vous entendre Monsieur.

_ Bonjour mlle Angéla et moi de même, alors toujours célibataire ?

_ Oui, Monsieur.

_ Une belle plante comme vous, ils ne savent pas ce qu’ils perdent. Ils sont tous idiots ces mâles, ma fille. Bon ! Notez ce qui est nécessaire pour le transfert pour trois cent cinquante millions. Et brûlez ces notes par la suite, s’il vous plaît.

_ Bien Monsieur, -----  c’est noté, j’espère vous revoir bientôt et merci pour les compliments, Monsieur.

_ A bientôt ma petite et repassez moi Jacques, s’il vous plaît.

     

 

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